29 janvier 2006

Le mug est mort... Vive le mug !



Savez vous qu’une orchidée à une vie à elle, ses petites habitudes, ses petites manies?
Une orchidée vit pour son bien-être. Elle accorde une importance capitale à son confort, son petit nid douillet. Même au sein d’une famille, une orchidée a tout à elle :

Une orchidée a sa chambre dans laquelle elle adore s’enfermer à clefs, son lit deux places, son matelas orthopédique pour ses problèmes de dos, son oreiller à plumes, ses couettes et couvertures qu’elle entasse les unes sur les autres car elle est très frileuse.
Elle a son shampoing pour cheveux gras et pointes sèches, son gel douche Tahiti à l’orchidée sauvage, son savon Fa (le vert), ses parfums sucrés qu’elle achète avec grand soin, sa brosse à dent rose et qui fait gratte langue, son dentifrice Signal au fluor.

Une orchidée a ses serviettes (une pour le visage, une pour les pieds), son peignoir bleu et les chaussons qui vont avec, sa brosse qu’elle contrôle tous les matins pour voir s’il n’y a pas des cheveux pas à elle, son sèche-cheveux.
Elle a son ordinateur avec un mot de passe impossible à trouver, son téléphone portable qu’elle emporte partout avec elle même aux toilettes, ses fringues, ses accessoires et bijoux, son maquillage, ses pantoufles.

Une orchidée a son mug bleu qu’elle a ramené de France et auquel elle tient beaucoup, son couvert qui est à la taille de sa bouche, son assiette qui se distingue des autres.
Elle a son lait Délice 0 % ou Vitalait 0% (mais seulement quand y a pas de Délice), son fromage Gervais pour accompagner la chakchouka, sa boîte de Harissa « Le petit paris » (et surtout aucune autre marque) pour tout ce qui est mar9a et aussi pour le couscous, ses yaourts aux morceaux d’ananas et à la noix de coco.

Une orchidée a ses toilettes dans lesquelles il y a de l’eau chaude et de l’eau froide, car une orchidée ne supporte pas le contact de l’eau froide sur ses fesses.
Elle a son pyjama, qu’elle a elle-même choisi selon ses goûts et sa peluche (un koala) sans laquelle elle ne peut pas dormir.

Une orchidée a ses fruits préférés qui ne doivent jamais être en rupture de stock : les oranges, les mandarines et les bananes en hiver ; les melons, les pêches et les abricots en été.
Elle a son livre de chevet et son chargeur Nokia qui doivent toujours être à proximité car elle ne supporterait pas de se lever de son lit pour les chercher, une fois installée.

Une orchidée ne mange pas toutes les pâtes, elle n’aime que celles en forme de papillon et a horreur des spaghettis. Elle n’aime que les olives vertes.
Une orchidée doit toujours avoir du Coca light à portée de main. Elle ne peut pas boire de Coca sucré.

Ce soir l’orchidée est triste car quelqu’un qui a peur de se dénoncer a cassé son mug, et il est irremplaçable.
L’orchidée se sent menacée dans son intimité.
L’orchidée va chercher par tous les moyens à protéger son confort.
L’orchidée fera payer cher le coupable.
L’orchidée est en colère, et sa colère dépasse sa tristesse. L’orchidée cherche un moyen de se venger.
Le processus de destruction est enclenché.

26 janvier 2006

Espace détente




En survolant mon blog, j’ai constaté que je n’avais aucun espace réservé aux visiteurs de passage.
Je suis quelqu’un d’assez chaleureux et accueillant et je me dois donc de respecter cela sur mon blog.
Voici donc l’espace détente de tous mes visiteurs.
Sur ce post, chacun est prié de laisser un commentaire. Car on n’entre pas chez moi comme dans un moulin.
Non, parce que si on commence à laisser entrer et sortir les gens comme ça, on n’en finit plus.
Je mets à votre disposition dans cet espace : café, thé, chocolat chaud, boissons gazeuses, jus et toutes autres boissons que je ne citerais pas. Mon bar est à votre disposition.
Il y a aussi quelques gâteaux et des salés, je vous conseille celui au saumon, il est délicieux.
Y en a un à la viande qui lui par contre est infecte.
Veuillez vous servir et vous mettre a l’aise. Faites comme chez vous… ms pas trop !
Je vous suggère aussi de lire les posts précédents, y en a qui sont bien, d’autres un peu moins… Enfin y en a pour ts les goûts.
Chez moi, le client est roi, ce post sert donc aussi à toutes vos suggestions et critiques (j’en connais un qui ne va pas tarder à rappliquer).

Bonne visite.

23 janvier 2006

Mon dico à moi (volume 2)

En fait, qui s’est amusé à inventer les mots?
Comment les mots sont nés? Je me pose toujours cette question !
Je parle pas de l’origine du langage, ça c’est bon je le conçois… enfin, bien que les scientifiques eux-mêmes en sont encore à émettre des hypothèses sur le sujet !

Mais ma question n’est pas là ! Les hommes, à un moment ont commencé à communiquer, ok… mais comment ont-ils juxtaposé des sons pour en créer des mots, selon quelle logique ?
Je dis ça, parce qu’il y a certains mots dont les sonorités m’horripilent !!
Et si un jour je pouvais croiser le type qui a inventé ces mots, j’en ferais bien mon casse croûte !

Des exemples ? J’en ai à revendre !

Le type qui a inventé le mot « bazoula » (sein) était il conscient de ce qu’il évoquait ?
Comment peut-on décrire une chose aussi belle qu’un sein en juxtaposant des sons aussi durs que le « b » et le « z » !! Sons qu’on retrouve d’ailleurs dans le mot « bazooka » par exemple, ou « baiser » (puisque j’ai maintenant l’étiquette d’une adepte du sexe) et dans ces mots là, ces sons sont justifiés ! La vulgarité du verbe « baiser » ou le pouvoir destructif d’un « bazooka » exigeaient bien des sons aussi durs !
Mais un sein… c’est mignon, ça peut être gros certes, mais ça reste quand même quelque chose rattaché au charme féminin, à la douceur, le symbole de la vie…
Ben, moi, si on m’avait laissée inventer le mot désignant le sein, j’aurais certainement mis des sons suintants comme le « ss » ou le « ch », évoquant l’écoulement du lait maternel par exemple ou la courbure du sein… Mais voila, on laisse des cons faire le travail et ça donne naissance à « bazoula »! Berk !
Un autre, qui me dégoûte carrément…« dhabout », remarquez comme en français le mot « aisselle » sonne bien, mais « dhabout » ça évoque carrément quelque chose de répugnant ! (Peut-être en référence à « 3ankbout »). J’avoue que chez certaines personnes cette dénomination est justifiée.
Y en a également un qui est carrément hors compet’ : « makhrou9a » (hanche). Lui, quand je l’entends j’ai carrément envie de dégueuler !!

Enfin, voilà… tout ça pour dire que, paradoxalement, il y a certains mots qui sonnent tellement bien à l’oreille et qui évoquent en nous tellement de bonnes choses!

D’ailleurs, chaque personne devrait avoir un mot qui la caractérise ! Ce n’est pas un mot qui représente la personne, mais plutôt qui évoquera chez cette personne une sensation unique… ZE mot !

Par exemple, mon mot à moi, je l’ai déjà trouvé depuis longtemps ! C’est un mot en anglais : courtyard !
Je m’en contrefiche de l’origine de ce mot, ou même de sa signification… mais j’adore la sensation unique qu’il provoque en moi, la sensualité qui s’en dégage…
Il m’évoque le cycle de la vie : le son « ou », un son fermé relatif à tous nos émois, à toutes nos exigences, à toutes nos responsabilités.
Puis vient le son « ya », libérateur, qui nous entraîne dans nos rêves, nos hallucinations, notre fuite de la réalité.

Ps : je lève la main droite et je jure que ce texte a été écrit par moi alors que j’étais en toute possession de mes moyens et sous l’effet d’aucun narcotique ou substance illicite ou hallucinogène.

22 janvier 2006

Plus rebelle que Rebel silencieux!

Voila ce qu’un rebelle silencieux pense de ma façon de penser (commentaire relatif à un poste précédent) :

"Dans ma façon de voir les choses tous les mots que je dis....engagent ma personne, ma façon de voir les choses...en gros font partie de moi. Le choix des mots n'est pas neutre mais le plus souvent un minimum révélateur de ce que l'on est....
Dans bcp de postes sans vouloir t'attaquer personnellement...on a l'impression que tu ne fais que dire ce qu'il existe de plus bas et moche dans la nature humaine....
Mis à part les premiers postes de ton blog....que doit-on penser ?
Il est hypocrite de dire que l'on ne juge, pas...tout le monde se fait une idée ou l'autre de toute chose...seulement après intervient un choix..., on apprécie et on commente, on fait un commentaire de politesse...., on s'abstient de commenter...ou comme lors de mon commentaire de l'autre jour on comprend pas comment on aimer raconter des choses aussi moche et dégoûtante .....Mais l'absence de jugement est surtout dans le but de ne pas "se faire d'ennemie" ou pour ne pas blesser le "narrateur".
Partant du fait que tes propos écrits, sont violents, j'estime que tu n'es pas une personne trop sensible...et que je peux me permettre de dire certaines choses....
Quel est le sens de ton blog ? Un défouloir pour exorciser le vice ?....Un éloge à la débauche ? Je ne suis pas de ceux qui pensent que les mots sont neutres, que les images sordides, moches, bestiales...ne sont que des mots...
Es-tu en recherche d'audimat ? À tenter un créneau que personne n'occupe dans la blogosphere ?
C'est toi la maîtresse de ton blog, donc je n'ai rien à dire....mais c'est plus fort que moi que d'essayer de comprendre ....
A la lecture de ce poste là, je me suis dit : " je n'essaie plus de comprendre ---> je capitule " :)

ps : comme on dit lors d'un examen, le candidat est noté à un instant t...sa note est dépendante de son degré de sommeil la veille, de sa préparation à l'examen etc....et mon commentaire ne s'appliquait qu'à orchea...dans le contexte précis de ce poste.

Voila pour l'explication de l'attaque perso, que j'appellerais plutôt la liberté de commenter. Si ça pose problème tu peux enlever mes commentaires, j'y vois pas de pb. J'ai rien à gagner ni à perdre avec ce commentaire :))"

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Je ne suis pas de ces personnes qui effacent les commentaires, je fais face à la critique qu’elle me heurte ou qu’elle m’indiffère.
Et dans ce cas précis, cette critique ouvre pour moi un débat que je me dois de lancer.
Beaucoup de personnes me lisent, certaines ne commentent pas, certaines me disent qu’elles apprécient la légèreté des postes, d’autres commencent à être gênées… Gênées, que je ne sois pas classable dans une catégorie. Car c’est naturellement humain que de vouloir tout catégoriser. Tout doit pouvoir être défini…
Alors qui suis-je ? Quelle est ma place dans la blogosphère ?
Pourquoi, cher Rebel, veux-tu comprendre ma motivation à écrire ? Dois-je forcément m’expliquer sur ça ? Mon blog doit-il être prescrit avec une notice ? Y a-t-il des contre indications à le lire ? Des effets secondaires ?
Penses tu réellement que j’écris pour m’imposer dans la communauté des bloggeurs ?
Ce que j’écris est-il forcément à mon image ? Je ne pense pas… Il n’y a pas de règles, et dans ma vision des choses encore moins.

Je l’avoue… je suis vicieuse. J’aime observer le monde évoluer et ne pas en être l’actrice principale, ni l’instigatrice. Je suis comme ces agents de l’ordre qui observent le criminel à travers la vitre de la salle d’interrogatoire. J’aime cette idée de pouvoir voir sans être vue. Mais est-ce un crime ?
Pourquoi n’est-il pas concevable que ce blog puisse tout simplement constituer mon côté obscur ?
Où faut-il faire un poste « coté obscur » et bien spécifier qu’il s’agit juste d’un exercice de style pour que ça soit plus facilement ingurgitable ? Les gens ont peur que l’image de leur côté obscur leur colle à la peau. Ils ont peur que les gens pensent qu’ils sont vraiment ce qu’ils décrivent. Alors ils ne peuvent s’empêcher à chaque fois de commenter : « attention, ici je suis en train de mentir », « ici je suis en train d’exagérer », « ici, ce n’est pas vraiment moi ».
Mon côté obscur, chacun aura le loisir de le découvrir au fil des postes. Je n’en ai pas honte, je l’assume.
Car il révèle paradoxalement mon humanité !

18 janvier 2006

Mon dico à moi (volume 1)

A part ma période ultra méga morbide, en ce moment j’en veux terriblement aux mots !
En fait c’est toujours comme ça que je fonctionne : si j’en veux pas à moi-même pour une raison ou une autre, il faut toujours que je me trouve quelque chose ou quelqu’un à blâmer…
Et mon ingratitude mise à part, en ce moment, ce sont les mots qui m’exaspèrent…
Certes, nous devons aux mots notre capacité à véhiculer nos pensées, à décrire la réalité et la perception que nous avons de cette réalité et à nous permettre de communiquer avec les autres.
Mais je me sens prisonnière de ces mots. J’ai envie d’effectuer un brassage des mots comme celui qu’on effectue à la fripe devant un tas de fringues que tout le monde a touchés, regardés puis rejetés!
Pourquoi ? Parce que je me fonds trop dans la masse en les utilisant, parce que j’en ai marre d’utiliser un mot dans un contexte et de le retrouver chez une autre personne dans un autre contexte. Parce qu’il m’arrive de vivre des choses qui, traduites en mots, ne font pas ressentir l’intensité de ce que j’ai ressenti sur le moment, de quel que sentiment qu’il s’agisse !
N’avez-vous jamais ressenti par exemple que l’amour que vous éprouvez pour quelqu’un est plus fort que tout, au point que le « je t’aime » le réduise à une amourette et ne traduise en rien l’intensité de vos sentiments?
Voila ce que moi je ressens en ce moment ! Je suis énervée, en colère, de devoir utiliser les mots de tout le monde : le « je t’aime » que je veux crier a été crié par des milliards de personnes avant moi, peut être des gens qui ne connaissaient rien à l’amour, peut être des gens pour qui ce n’était pas aussi fort, je ne le conçois pas !

Combien d’octogénaires au crâne dégarni, à la dentition quasi inexistante, à l’odeur nauséabonde ont dû dans un élan de je ne sais quoi d’ailleurs, dire à leur compagne (si tant est qu’ils aient une compagne) :
"Ehh féri (rappelez vous qu’ils n’ont pas de dents) vé t’aime !"
Berrrrrkeeeeee ça me répugne que derrière ça, moi avec mes sentiments vrais, avec toute la grâce d’une Juliette face à son Roméo, j’utilise le même mot !!!!!

En fait, j’en suis arrivée au point de vouloir inventer des mots !
Chaque mot traduira mon état d’âme face à une situation donnée que MOI je définirais et je saurais bien de quelles sensations il s’agit puisque je les aurais vécues auparavant !
Voila, personne ne décidera plus pour moi maintenant quel mot est à utiliser dans tel contexte ! Personne ne me mettra dans une boîte, une catégorie quand je ressentirais quelque chose: amoureuse, énervée, triste, joyeuse, excitée, conne…
Et si je suis tout à la fois?

Enfin libre de crier « takomata !!!!!! » ou « fastechi » ou « camilar ».

Mon dictionnaire sera à mon image, il sera riche… riche de mes expériences, riche de mon vécu, riche de MOI!

to be continued...

12 janvier 2006

Stupid death...

En me livrant à mes jeux de cynisme poussés à l’extrême, j’ai voulu chercher quelques morts ou accidents mortels qui au-delà de leur absurdité nous donnent une bonne leçon de lucidité !
J’ai répertorié quelques tragiques accidents ayant même été récompensées par un Darwin award : ces prix sont attribués aux personnes qui ont le plus contribué à la bêtise de la race humaine en se faisant...tuer ! Certains candidats semblent s'être préparés toute leur vie pour ça (et remarquez comme la aussi, les américains restent attachés à leur volonté d'être les meilleurs...!)

Feu Werner R. était gardien de zoo. L'éléphant du parc, qui faisait l'admiration des foules, était depuis un certain temps fort malade, comme ça arrive à tout un chacun, de constipation. Le brave Werner lui a donc administré une bonne vingtaine de laxatifs spécialement conçus pour déboucher les intestins des éléphants. Il n'aurait pas dû stationner sous l'anus de la bête : sans crier gare, une véritable nuée ardente de gaz nauséabonds et empoisonnés allaient l'étourdir et le clouer par terre. Puis, les intestins du pachyderme libérèrent 120 kilos de matière fécale qui attendaient la depuis une semaine, et se déversèrent sur le brave gardien qui trépassa dans d'atroces souffrances...

Le Caire, Egypte, 31 Août 1995 - Le Caire, Egypte, Six personnes se sont dans le sud de l'Egypte, alors qu'ils tentaient de sauver un poulet qui était tombé dans un puits. Un fermier âgé de 18 ans fut le premier à descendre dans le puits d'une profondeur de 60 pieds (18 m). Il s'est noyé, apparemment après qu'un courant de fond l'ai entraîné dans le fond de l'eau. La police raconte que sa soeur et ses deux frères, d'aucun ne sachant très bien nager, descendirent l'un après l'autre pour l'aider, mais ils se noyèrent aussi. Deux fermiers âgés vinrent ensuite pour aider, mais ils furent aussi engloutis par le même courant de fond. Les corps des six malheureux furent extraits du puits dans le village de Nazlat Imara, à 240 miles (386 km) du Caire. Le poulet en fut aussi sorti. Il survécu.

Paul Stiller et sa femme sont hospitalisés en septembre à Andover Township,NJ, blessés par un bâton de dynamite qui a explosé dans leur voiture : s'ennuyant à bord de leur voiture a deux heures du matin, ils ont voulu allumer un bâton de dynamite et le jeter par la fenêtre pour voir ce que ça faisait, mais apparemment n'ont pas remarqué que les vitres étaient fermées quand ils ont lancé le bâton...

Tacoma, WA - Kerry Bingham, et ses amis avaient passé la soirée à boire quand l'un d'entre eux dit qu'il connaissait quelqu'un qui avait sauté en élastique du pont de Tacoma Narrows Bridge. La conversation s'anime et a 4:30 du matin, Kerry et ses amis se rendent sur les lieux pour renouveler l'expérience. Arrivés sur le pont, ils s'aperçoivent qu'ils n'ont pas amené d'élastique pour le saut; ils décident alors d'utiliser un câble qu'ils ont trouvé près du pont. Ils attachent donc un bout du câble au pont et l'autre bout à la jambe de Kerry. Après un saut de 12 mètres, le câble s'est tendu arrachant le pied de Kerry à la cheville. Il survivra miraculeusement, sauvé des eaux de la rivière par des pécheurs...

Une femme rentre à la maison et trouve son mari de dos dans la cuisine tremblant, presque en transe avec un fil électrique à la main. Pour sauver son mari, elle attrape un bout de bois dans le jardin et le tape violemment à l'épaule pour l'éloigner du courant électrique. Ce faisant elle lui fait une double fracture au bras. Dommage, car en fait le mari était en train d'écouter de la musique sur son Walkman....

Brementon, WA - Christopher Coulter et sa femme voulant pimenter leurs ébats ont eu l'idée de verser du beurre de cacahuète sur les organes génitaux de Christopher et de laisser le chien Rudy les lécher. Malheureusement, Rudy perd son contrôle et commence a mordre les testicules et le pénis de Christopher. Paniquee, Emily jette une bouteille de parfum qui se brise sur la tête du chien. Rudy surpris saute en arrière et du coup arrache le pénis de Christopher. Les chirurgiens de l'hôpital de Brementon ont mis huit heures pour coller les morceaux et déclarent que Chris a eu beaucoup de chance que le parfum ait stérilisé la plaie..

Au mois de décembre, trois hommes se sont électrocutés à Mineral Wells, Texas en essayant de voler les fils de cuivre des lignes a haute tension.
(France, Janvier 2000) Pierre vivait paisiblement en France dans sa maison. Malheureusement, il est mort un jour dans son bain, écrasé par 4 tonnes de rognures d'ongles. En effet, Pierre avait une drole d'habitude : il conservait ses rognures d'ongles dans son grenier. Il les entassa pendant près de 40 ans. Et un jour le grenier céda sous le poids le tuant sur le coup....

(Irlande) Dans toutes les bases militaires anglaises basées en Ecosse, il y a des sentinelles qui s'ennuient. Mais il n'en faut pas plus pour qu'un malin militaire se demande si lorsqu'on enfonce un crayon dans un pistolet et qu'on tire, est-ce que le crayon part aussi vite qu'une balle?
Il tenta donc l'expérience et vit son crayon décoller et atterrir 3 mètres plus loin. La belle idée se répand dans la caserne, et une des sentinelles du groupe de relève veut absolument essayer. Malheureusement le vilain copieur oublia de décharger son arme. Il tira donc sur un de ses amis deux fois : avec un crayon, et une balle de 9 mm....

(26 Mars 2000, Californie) Une jeune femme reçut une leçon à propos de la drogue. La police a déclarée que Patricia et son petit ami avaient bu et fumé de la marijuana avant de vouloir dormir à la belle étoile et de profiter de la vue du toit du King Charles Inn. Ils sont montés là-haut avec leurs couvertures et oreillers et s'endormirent d'un sommeil de plomb. D'un tel sommeil que Patricia tomba du toit et que son ami ne s'en rendit même pas compte... Lors de l'arrivée de la police, son ami dormait toujours....

(1 janvier 2000, Canada) Croyez le ou non, mais le Jour de L'An, au Canada, il y a des gens qui plongent dans la mer, c'est le : "Polar Bear swim" (la nage de l'ours polaire). Comme chacun sait (ou comme toute personne ayant vu Titanic), un bain prolongé dans de l'eau extrêmement froide provoque l'hypothermie et la mort s'en suit... Mais Adrian (notre héros) ne pouvait se tenir à des considérations aussi futiles. Adrian profitait d'une partie de Hockey entre amis quand il vit un trou creusé dans la glace à quelques mètres de lui. Il se proposa donc de perpétrer la belle coutume canadienne, mais sous la glace. Il plongea donc dans le trou à 13:30 et ne put remonter...
Car, encore une fois, comme chacun sait, une fois sous la glace, il est très dur de retrouver le trou par lequel on est passé, surtout si on souffre d'hypothermie (faible pression sanguine, ralentissement du cerveau et perte de conscience). Les amis d'Adrian ont essayé de le retrouver et ont même éclairé le trou pour aider Adrian a retrouvé son chemin. Sans succès. Son corps fut retrouvé le lendemain par des pompiers, et non loin du trou...


(Boston, Novembre 1998) Mr. and Mme. P.Jennings vivaient dans la banlieue de Boston seul et voyaient peu de monde. Un jour Philippe Jennings se sentit mal. Ayant 54 ans et une santé déplorable, il pensa que cela était se dernière heure. Une fois sur son lit de mort, il confessa à sa femme avoir eu 3 liaisons depuis leur mariage. Voulant le corriger dans l'heure, sa femme attrapa une paire de ciseau et l'acheva. Le problème, c'est que l'autopsie révéla qu'il souffrait juste d'un ulcère....

(1998, Londres) Une amende de 2.000.000 de francs a été donnée à une société de construction. Deux ouvriers de 28 ans (supposés expérimentés) sont morts après avoir découpé un trou dans une plaque de béton sans avoir réalisé qu'ils se tenaient au centre du trou. La société a été reconnue coupable car aucun des deux hommes ne portaient de harnais de sécurité....


George B., de Chicago, Illinois, est mort étouffé en essayant de retrouver sa pièce de 25 cents tombée dans une bouche d'égout.

En septembre à Detroit, un homme de 41 ans est mort noyé dans 50 cm d'eau après avoir passé la tête dans une bouche d'égout et s'être bloqué ...en cherchant ses clés de voiture...

(11 Avril 2000, Kentucky) Larry et son ami Silas eurent la bonne idée de reproduire l'exploit de Guillaume Tell. Mais au lieu d'utiliser une pomme, ils prirent une canette de bière préalablement vidée par leur soin. Vous vous dites que ces deux personnes doivent être bien jeunes pour avoir une idée aussi stupide, et bien non, ils avaient tous deux 47 ans. Larry mit donc la canette sur sa tête et pressa Silas de tirer. Evidemment il rata la canette, donnant ainsi la mort à son ami....

Ricardo S., de Los Angeles, Californie, était en train de cambrioler un magasin. Pour avoir les deux mains libres et comme il faisait nuit, il tenait sa lampe de poche dans sa bouche. Il est malencontreusement tombé la tête la première et a été étouffé par sa maglite.

" Après coup, craquer l'allumette a été ma grosse erreur. Mais j'essayais seulement de récupérer le hamster ", a raconté Eric Tomaszewski aux docteurs stupéfaits du département des Brûlures Sévères de l'hôpital de Salt Lake City.
Tomaszewski et son partenaire homosexuel Andrew Kiki Farnum ont été admis pour un traitement d'urgence après qu'un rapport eut sérieusement mal tourné. " J'ai poussé un tube en carton dans son rectum et glissé Raggot, notre hamster, à l'intérieur " a-t-il expliqué. "Comme d'habitude, Kiki a crié Armageddon pour indiquer qu'il en avait assez. J'ai essayé de récupérer Raggot mais il ne sortait pas, j'ai donc regardé dans le tube et craqué une allumette, pendant que la lumière pouvait l'attirer".
A une conférence de presse, un porte-parole de l'hopital a décrit ce qui s'est passé ensuite. " L'allumette a enflammé une poche de gaz intestinal et une flamme a jailli du tube, enflammant les cheveux de M. Tomaszewski et brulant sévèrement sa figure.
Elle a aussi mis le feu au pelage du hamster, qui, à son tour, a enflammé une poche plus grande de gaz plus loin dans l'intestin, propulsant le rongeur comme un boulet de canon. Tomaszewski a été brulé au deuxième degré et a eu le nez cassé par l'impact avec la gerbille, tandis que Farnum a été brulé au premier et au deuxième degré à son anus et sur la partie inférieure de son intestin. "

Hickory Daily Record Ken Charles Barger, 47 ans, se tua quand le téléphone le réveilla à son domicile à Newton, N.C. En pensant attraper le combiné, il empoigna son Smith & Wesson 38 Special, et se tira une balle dans l'oreille.

Un jour, en jouant au football, Tom s'ennuyait tout seul dans ses buts. Il commença donc à escalader le poteau des buts. Une fois en haut du poteau, Il se laissa glisser. Mais il n'avait pas remarqué le petit crochet sur ce même poteau. Il coula donc lentement le long du poteau, arriva sur le crochet. Et manque de pot, un de ses testicules s'accrocha, et resta accroché ! ! !
Tom tomba par terre, agonisant, pendant que son testicule gauche se balançait sur le poteau, tel un trophée.

Un homme fut retrouvé mort dans son lit sans cause apparente. Les policiers constatèrent un taux élevé de gaz méthane dans son sang et dans sa chambre, qui était sans ventilation. Ils supposèrent que celui-ci résultait de son alimentation, composée exclusivement de choux et de flageolets. Trois personnes qui se portèrent à son secours tombèrent malades et l'état de l'un d'eux nécessita une hospitalisation. Il n'y a pas que les dinosaures....

James Burns, 34 ans se tua à Alamo, Michigan, en essayant de réparer son camion. Il demanda à un ami de conduire le camion sur la nationale pendant qu'il s'accrochait en dessous pour déceler l'origine d'un bruit insolite. Malheureusement, ses vêtements s'enroulèrent autour de l'essieu et il les suivit.

09 janvier 2006

Pour la liberté de chier...




C’est plus fort que moi, j’aime parler pipi-caca !
Parlons, puisque ce blog nous en donne l’occasion, du besoin naturel humain. Mais pas le petit besoin pour arroser les plates-bandes ! Non, je parle du gros besoin aux nuances marron, celui qui génère chez chacun de nous un comportement unique, et moi (en remue merde que je suis et c'est le cas de le dire) c’est ça que j’aime analyser!
Il y a plusieurs comportements que je trouve carrément pathologiques, en voici quelques uns :

- le type qui ne chie que chez lui
Ce genre de personnes m’exaspère. Elles semblent avoir un contrat d’exclusivité avec leurs chiottes. Le type, qu’il soit au boulot, chez un pote ou même chez sa grand-mère, non il ne peut chier que sur ses chiottes!
Enfin chai pas il pense peut être qu’il y a un système de reconnaissance des fesses, que s’il chie ailleurs les chiottes vont pas le reconnaître et que la chasse va pas se tirer, que sa merde va déborder et inonder les WC ou même qu’une alarme va se déclencher… enfin chai pas moi j’essaie de comprendre !

- le type qui chie sur d’autres chiottes mais en prenant des précautions
Ah celui là j’adore… Le type use de tous les subterfuges pour chier partout mais en ayant la sensation d’être chez lui !
Il se trimbale son papier cul partout avec lui et quand il entre aux toilettes, il ne faut surtout pas qu’il soit pressé de lâcher le morceau parce qu’avant ça, il y a tout un rituel qui doit s’accomplir dans les moindres détails. Il doit d’abord tirer la chasse même si l’eau est limpide comme une source. Puis il déroule le papier cul et en met autour de la cuvette.
Dessus en premier lieu pour être sûr de ne pas s’asseoir sur des restes de pisse séchée, puis au fond de la cuvette. Et c’est là que ça demande explication : Pourquoi remplir la cuvette de papier cul ?
Il faut d’abord savoir que ce comportement est généralement inhérent au type travaillant dans un open space, ou lorsque les toilettes sont proches d’un lieu ou il y a possibilité de vie humaine.
Eh bien même en fermant la porte des chiottes, ce type il a la phobie d’une seule chose : le « blop » qui accompagne le plongeon de sa merde dans l’eau. Alors ce papier cul c’est tout simplement afin d’adoucir la chute et d’en faire un son plus doux et surtout moins caractéristique voire méconnaissable…
Parce que, attention ! Le type est aux toilettes mais personne ne doit soupçonner, à aucun moment, qu’il est en train de se vider les intestins…

- le type qui a la phobie de l’odeur
Lui, je le plains… Parce qu’il passe 5 min à chier et 30 min à attendre que l’odeur se casse. Y en a même dans cette catégorie, qui ont trouvé une super idée qu’ils se passent entre eux : tirer la chasse après chaque «blop». Il paraît que c’est radical !
Mais le type est capable aussi, pour pas qu’il y ait d’odeur, à ouvrir la fenêtre par -5°C et à se les geler pour pas lui laisser le temps de s’imprégner dans l’espace, parce que ce type sait bien que l’odeur c’est du gaz et qu’on lui a fait étudier en chimie que le gaz occupe tout l’espace qu’on lui donne.
Ce type, il a un autre moyen pour faire évacuer l’odeur après s’être soulagé. Il fait de grands gestes avec les bras d’avant en arrière en poussant l’air vers la fenêtre et même que parfois il le fait en s’aidant de la serviette.

- le type qui en a rien à foutre
Lui c’est carrément pas normal qu’il n’ait pas honte de chier. C’est même pour lui « son moment » !
Quand il va aux chiottes, ça se voit : il se met à chercher un journal ou deux, se le met sous le bras, prend son paquet de clopes puis il regarde tout le monde, se met les mains sur les fesses et dit :
« bon, je vous laisse un moment, j’ai une charge de TNT prête à exploser »
Et en effet, c’est ce qui arrive… les déflagrations qu’on entend des toilettes sont dignes du Stromboli, du Krakatoa et autres volcans… Vous ne devez votre salut qu’à une seule condition : vous réfugier devant la fenêtre ou carrément pour les plus chanceux, sortir !
Puis 30 min plus tard, il sort, le visage en sueur et vous dit le plus tranquillement du monde :
« je te conseille de ne pas entrer tout de suite, j’ai chié un rat, ça pue la dedans »

Eh, c’est de la merde, ça pue et c’est normal, alors faut arrêter de faire sa chochotte !

06 janvier 2006

Et au détour se trouve... Mon autre

Ce qu’on voit en premier chez lui ?
Sa verrue… plantée au beau milieu de son visage sous son œil droit, une bosse difforme qui ressort de son visage balafré, aux traits irréguliers.
Cette verrue, elle provoque toujours en moi la même réaction : une folle envie de presser ce bouton poussoir et d’observer quel mécanisme elle commande, car il n’est pas possible que ce soit autrement, ce bouton doit indubitablement déclencher une avalanche de réactions corporelles…

Je me perds à chaque fois dans ces pensées quand je le regarde… mais il finit toujours par me ramener à la réalité.
Il me regarde longuement… enfin, j’ai l’impression qu’il me regarde, son strabisme laissant parfois place à un petit doute (mais j’ai fini par comprendre, en le côtoyant qu’il faut toujours observer son œil gauche, c’est celui qui regarde toujours dans la bonne direction)…
Il me regarde donc, de son œil gauche, et je me noie dans cette vision de cyclope…

Il a pour habitude de toujours siroter un coca en émettant ce son si plaisant à mes oreilles : ce « ssssssssssst » qui fait passer la boisson à travers la paille -qu’il mordille avec délicatesse- et la déverse dans sa gueule.
Puis il continue de m’observer, toujours de son œil gauche, son œil droit fixant une direction incertaine…et me lance, de sa voix de baryton, comme un Barry White en chaleur un « beu333333333 » qui vaut pour moi le plus passionné des « je t’aime ».

Dans ces moments là, j’ai envie de lui sauter au cou et de l’enlacer tendrement, de caresser ses cheveux graisseux, parsemés de pellicules, comme des flocons de neige sur son crâne presque dégarni.

J’aime quand il porte des T shirt un peu relevés qui exposent les plis et replis de son ventre orné en son centre d’un nombril entouré de touffes de poils noirs.

J’aime également ses slips aux couleurs fluorescentes tantôt jaune, tantôt rose ou même ceux, moins excitants certes, roses à petits pois verts qui lui donnent une allure de super héros et lui rebondissent ses couilles minuscules. Ahhh… et puis, ce string, réservé aux grandes occasions, qui ne cache rien de ses fesses pendouillantes, cellulitées -phénomène rare chez un homme- comme deux pastèques pourries…

Mon autre, il est à moi et gare à celle qui s’en approchera…

05 janvier 2006

Lord Of The Nights

Il est 3h du mat’ et je pète la forme ! It’s my time !

Bon j’essaie de faire abstraction de la symphonie de ronflements que composent chaque soir en chœur tous les membres de ma famille ! Ils auraient voulu le faire exprès qu’ils n’auraient pas été aussi synchro.
A peine y en a-t-il un qui expire que l’autre reprend, dans un élan, une inspiration qui fait vibrer toutes les fenêtres de la maison… un grondement digne d’un Boieng 747 prêt à atterrir à quelques mètres de ma chambre.
Paradoxalement, le boucan ne parvient tout de même pas à gêner le calme de la nuit. J’aime cette sensation d’être la dernière réveillée, comme si une mission divine m’incombait :
« Ce soir, tu veilleras sur le monde » semble me susurrer à l’oreille une voix surgie de nulle part…
Et je le fais tellement bien il faut l’avouer!
Dans ces moments là, j’aime me promener dans la maison, traverser les couloirs dans l’obscurité totale. Ne rien voir, puis, petit à petit distinguer des formes, des objets méconnaissables… et là je laisse place à mon imagination enfantine. Le portemanteau ? Un monstre caché qui n’attend que mon passage pour me dévorer ; la table ? Une bête humaine accroupie qui me sautera dessus pour assouvir ses instincts les plus primitifs… Des gémissements qui semblent m’appeler au loin, le vent qui frappe à ma porte et aux fenêtres…
Cette montée d’adrénaline je ne l’échangerai pour rien au monde. Je suis seule avec tous ces monstres de la nuit et je deviens moi-même un des leurs… Je ne me sens plus humaine, je suis différente de tous ces gens qui vivent dans leurs chimères ; non je ne suis pas différente : je suis supérieure !
Quelle bande de cons ceux qui osent dormir ! Ils ne profitent pas de ce spectacle, ils préfèrent vivre dans leur fourmilière.
Moi je suis une super héroïne, la catwoman version maison! Je suis la maîtresse des lieux et je suis prête à combattre les forces du mal !
Ce silence pesant pour certains ne l’est nullement pour moi, j’entends le bourdonnement dans mes oreilles, ce son aigu, comme un effet Larsen, les sons que toutes mes oreilles ont emmagasinées durant la journée, elles me le chantent maintenant dans une douce mélodie lancinante.

Sauf que… voilà… je finis par m’endormir et le lendemain j’ai la tête dans le cul, comme chaque jour!
A 10h du mat’ ça bourdonne, la fourmilière se remet en marche. « Travaillez hommes ! Retournez dans votre système à la con, vous êtes dans l’engrenage !»

Et moi je n’y suis pas, je suis loin de l’être et je ne veux pas me résoudre à y entrer.

03 janvier 2006

tu vivras à la sueur de ton front !




Y a un truc que j’apprécie au plus haut point chez les mecs ! Les inaccessibles !!
Pas physiquement ! J’ai horreur des mecs trop bien taillés en V, comme le « blond » du spectacle de GAD.
Non…
Moi, le type qui me dit qu’il ne peut pas me voir aujourd’hui parce qu’il a un rendez-vous d’affaire ou qu’il a du boulot à terminer ça me fait carrément fooondre !!
Je ne dis pas qu’il est là chez lui les doigts de pieds en éventail, à se siroter une boisson et à regarder un match de foot et qu’il refuse de me voir !! Ou qu’il préfère sortir avec des potes… Non non, moi, ce que j’aime c’est le type qui est trop pris par son boulot!
Genre vous vous êtes donnés rendez-vous à 19h, il t’appelle à 19h30:
- « désolé chérie je suis retenu en réunion »
Il ne s’imagine pas combien cette excuse lui fait prendre des points dans mon échelle d’estimation !!

Alors, en fille pas conne que je suis, j’ai essayé d’analyser ça!
Cà n’est pas du tout une tendance sadomaso enfouie au plus profond de mon inconscient ! Cà n’est pas du tout ça même...
C’est tout simplement que le type qui est trop investi par son travail, qui a juste quelques minutes à m’accorder… ça me sécurise ! Aussi contradictoire que ça puisse paraître !
Il bosse dur pour gagner sa vie, il a de l’ambition, il connaît ses priorités… m’en faut pas plus que ça pour grimper au 7eme ciel !

Alors voyons encore plus loin derrière ça ! Pourquoi ce sentiment de sécurité ?
La psychanalyse explique encore une fois tt ! Mon père n’était jamais là pour moi quand j’étais gosse !
Il ratait toutes mes fêtes de fin d’années, toutes les réunions avec les profs, il me laissait devant l’école attendre pendant des heures.
Il lui est même arrivé des fois de m’oublier, de rentrer à la maison, de se faire engueuler par ma mère et de revenir me chercher a 20h30 alors que je sortais a 16h…
Bon le raisonnement ne tient pas encore debout : oui je n’aimais pas ça chez mon père, j’en souffrais même parfois mais pourquoi aujourd’hui j’ai besoin d’un homme comme ça !
Tout simplement parce que quand j’ai grandi, j’ai pu voir mon père travailler, le voir s’investir et j’ai compris que tous ses retards, ses oublis ce n’était pas parce qu’il ne m’aimait pas mais au contraire pour me construire un avenir heureux… il bossait dur chaque jour pour qu’aujourd’hui je puisse vivre aisément et ne manquer de rien !
C tout simplement (pas si simplement d’ailleurs) mon complexe d’oedipe !! Je cherche un homme qui me sécurise autant que mon père le faisait…

Vive les hommes qui n’ont jamais le tps !

02 janvier 2006

substitute for love




Les deux meilleures choses dans la vie?

Dormir et manger !

Ouais je connais déjà l'objection de certain(e)s: et le seeeexxxeeee?
Oui oui ça aussi c'est bien mais tant qu'à se faire plaisir pourquoi ne pas remplacer le sexe par le chocolat?

Cette sensation de chaleur qui vous monte à la tête à chaque carré, ce plaisir intense et cette quiétude orgasmique ça vaut bien le meilleur étalon...

Et puis on se fait pas traiter de pute en faisant varier les plaisirs: un jour du chocolat noir pour une sensation extrême, le lendemain un chocolat au lait pour plus de tendresse, quelques noisettes effritées qu'on croque avec envie... Voilà du plaisir pur, sans partage et sans demi mesure...

Et surtout un plaisir qui n'est pas immoral...

Il peut être dégusté seul ou à plusieurs.
Adeptes de l'échangisme? Quoi de mieux qu'un plan chocolat entre potes!
"Fais moi gouter celui là!!" "eh! goute celui là aux amandes".

Le chocolat c'est le substitut pour tout. Il est selon l'occasion:
- l'ami qui te soulage quand tu viens de te faire larguer et que tu te tapes la soirée: film romantique avec le paquet de mouchoirs sous la couette.
- l'amant quand t'es en manque et que ya aucun mâle valable à 20 km à la ronde.
- la mère qui te caresse tendrement quand tu as juste besoin d'affection.

Voici quelques bonnes raisons qui font préférer le chocolat au sexe à plusieurs femmes (www.chococlic.com):

1. Si tu m'aimes, tu pourras avaler tout ça" a un vrai sens avec le chocolat.
2. Le chocolat satisfait même s'il devient mou.
3. Quand vous mangez du chocolat, ça ne réveille pas vos voisins.
4. Vous pouvez manger du chocolat aussi longtemps que vous voulez.
5. Vous pouvez manger du chocolat en face de votre grand-mère.
6. Si vous mordez les noix trop fort, le chocolat ne se plaindra pas.
7. 2 personnes de même sexe peuvent manger du chocolat sans avoir à se donner des surnoms "cochons".
8. Le mot "grossesse" n'effraye pas le chocolat.
9. La grosseur du chocolat importe peu; c'est toujours bon.
10. Vous pouvez demander à un étranger du chocolat, sans risquer une gifle.
11. Vous n'avez pas de poil dans la bouche avec du chocolat.
12. Avec le chocolat, pas besoin de faire semblant.
13. Le chocolat ne vous fait pas tomber enceinte.
14. Vous pouvez manger du chocolat à n'importe quel jour du mois.
15. Du bon chocolat est facile à trouver.
16. Vous pouvez manger autant de sorte de chocolat que vous voulez.
17. Vous n'êtes jamais trop jeune ou trop vieux pour manger du chocolat.


Bref, Rocco n'a qu'à bien se tenir, chocolate in da place !